samedi 1 novembre 2008

Thanks Todd Edwards


Frissons, frissons... Qu'est ce qui vous pousse à jouer avec nous ? J'aimerai juste comprendre, histoire de tenter de vous pardonner.

Votre égo qui a besoin d'être regonflé, car non vous n'avez pas perdu, vous avez toujours le dernier mot ? Votre besoin de destruction, car rien ne peut finir sur une bonne note ? Femmes... Si un jour nous devions nous venger de la moitié des souffrances que vous nous faites endurer, le monde serait bien triste sans votre sourire divin.

Il fait doux ce soir. Et pourtant, je frissonne.


Un besoin d'écrire, même si je ne le fais pas avec brio, à la manière de Charlie. Mais là je crois que j'en peux plus, je vais imploser.

Rosie

dimanche 26 octobre 2008

Je n'oublierais jamais


On trempe nos larmes dans un café noir
Nos ongles se croisent et nos mains se prennent
Devant nous la place des hommes, qui d'un pas hésitant, vivent et somnolent
Tes yeux dorés n'ont rien de tristes, miroirs, ils reflètent mes désirs et caressent mon âme comblée
Je n'entends plus rien, ma tête bourdonne et mes veines se noient
Doucement, tes cheveux et ses boucles dansantes m'enlacent, de jasmin, de lilas ou d'un parfum des îles
Et c'est mon cœur alors, qui cesse de rêver
Je suis seul, assis contre un décor sinistre, mais qui tendrement me berce, comme un enfant
Quand l'automne arrive déjà, les hommes marchent en pensant
Et s'écoule sur ma joue gauche, une larme, doucement


Charlie


vendredi 17 octobre 2008

A Montmartre nos coeurs,

Elle possède la voix qui, couplée à sa beauté, en fait le plus excitant des aphrodisiaques masculins.
Ou seulement le mien.

Quant à Alex, je pourrais sans doute choquer si j'en parle, alors je m'abstiens parce que j'ai sûrement
des réactions étranges à propos de lui.




Je n'ai plus de migraines, juste tout plein d'accords et des textes qui me viennent d'un coup, ça fuse dans ma tête comme cela, et le plus souvent cela arrive quand je suis en cours.
C'est terriblement frustrant vous comprenez, quand on a un crayon comme guise de guitare.

C'est donc un duo à la Tellers qui va naître sous peu, car on a tous deux envie de rêver en cet froide automne qui arrive, comme beaucoup d'autres.


Charlie

samedi 20 septembre 2008

Etre désespérer, mais avec élégance

Que procure ,

Un réveil à base de No Buses ou Girl of Russia ?

Un trajet matinal, contre la vitre givré du bus, avec See the sun ?

Une tentative de réveil, sur le trajet du lycée, en essayant Housi ?

Un retour en bus, tard le soir, avec The time has come again ?

Un départ pour l'inutilité, pulsé par Move my body ?

Un retour, harassé, de cette perte de temps, dans le noir, avec une fine pluie, et Nobody loves you ?



Une solitude assommante, dans le lit, avec la pluie sur le velux, et I love the rain the most ?

Une soirée , avec Dance Wiv Me ?

La fin, vers 5h, seul, dans le froid, une cigarette, Les Princes de la ville ou Jackpotes 2000 ?

Surement plus de sensations, sentiments, qu'aucune autre chose ne me procurera jamais. La recherche, toujours, de LA situation, qui te paralysera le plus, celle qui te fera pleurer sans comprendre, ne serait pas un objectif suffisant dans une vie ?


Rosie

jeudi 18 septembre 2008

Surenchère, surenchère


Pourquoi ? Pourquoi obligatoirement serait-ce un défaut ? Pourquoi ne pourrais-je pas l'envisager comme une certaine qualité ?
Oui, je les aime.
Les femmes, toutes.
Mais voila, un personnage se construit, à base de dires d' harpies, jalouses je l'espère, au moins elles souffrent.
Mais voila, toujours ce doute qui persiste, jamais la confiance n'existe.
Mais voila, le point de non retour est atteint.
Comment faire?
Comment annihiler l'image transportée?
Comment leur montrer que, putains, je peux être leur rêvé, sachant que jamais, au grand dieu, l'idéal sera mon adage?

Non, je ne suis pas manipulateur. J'aime juste les femmes,

Toutes.


Rosie

Dangerous





Je me sens seul.
D'ailleurs si je pense que cette rentrée scolaire est la pire de toute c'est que mes pensées sont encore en Amérique.
Amérique de mon cœur, comme tu m'as été follement inspirante.
Nous sommes mariés maintenant; je me suis fiancé avec New York l'année dernière et me suis définitivement marié avec la Californie cette année, tout en étant terriblement amoureux de San Francisco, qui m'aimait aussi bien entendu; on était sacrément heureux oui.

Retour en France, ce cher et tendre pays démocratique, le 29 août.

Parler encore de rentrée deux semaines après l'officielle est sans doute évocateur, il est sûr que me plonger dans les cours scientifiques requiert plus qu'un mois d'adaptation, mais pourquoi alors avoir choisi cette filière si c'est tout simplement invivable?
Et bien je pense tout simplement, que la scolarité sous ses diverses options ne m'intéresse plus, que j'étudie la littérature, les langues ou bien encore l'art, je serais dans chaque cas assis sur une vulgaire chaise à rêver d'ailleurs.

Comme j'aimerais prendre le premier train venu, n'importe lequel, enfin non mon choix quant à la destination ne serait pas innocent, quoique, je serais prêt à tout oublier tellement je suis fatigué, vraiment.

Qu'on soit à Montpellier, qu'on retourne partout; je ne sais pas moi, mais qu'on vive enfin pour nous, nos vies rêvées.
Jouer de la musique, écrire juste par plaisir et par valeur purgatoire.
Pouvoir partir loin quand j'en ressens l'envie fatale.
Il y a tellement de choses que je ne comprends pas à la Liberté.

Quoiqu'il en soit, j'ai sûrement une sacrée dent contre l'éducation.


Charlie

dimanche 27 juillet 2008

"Je breaking bad , définitivement "


Après çà, on en sort rapproché, sûrement.

On en a découvert , des choses.
Des personnes aussi.
Simplement merci, à tous.





jeudi 12 juin 2008

Can't take my eyes off of you


Me voila tout à coup térassé. Le pouvoir d'un regard, est hallucinant. Ca commence par un croisement, banal , qu'on croit juste comme étant le fruit du hasard.

Et puis tu as le deuxième, celui qui te dévaste . Celui ou tu ne vois plus le visage, juste un halo flou, avec comme phares les yeux. Ces yeux, qui d'un coup arrête tout autour. Non, elle ne peut pas me lancer ce regard là, pas elle, je dois être fatigué. Et là ,çà s'arrête. Mais tu vois tu as encore l'envie de recommencer, voir si c'était le hasard, ou s'il y a vraiment eu une osmose.

Alors tu te lances un défi. Si on passe le panneau avant 10 secondes, il y en aura un autre , un autre moment d'euphorie. 1, 2 , 3. Accélère putain de bus, accélère. 4, 5 , 6. Mais merde pourquoi tu es si lent . 7, 8, 9. Oui, c'est bon. Ouf. Un rire, tiens. Et là, çà recommence. Plus long, plus intense. Plus fou surement. Tu te poses la question, et si quelqu'un me voit, nous voit ? Donc tu y mets un terme. Mais personne ne t'a vu grand.

Et tu regrettes, et tu retentes.

Et le bus arrive.

Et c'est fini.

Rosie.

mardi 10 juin 2008


Intouchables, certes.

Mais tellement magnifiques et désirables...
Rosie

lundi 9 juin 2008

Décris la moi.


Je pense que l'amour est d'une réelle simplicité.

Seulement, l'homme a toujours voulu la rendre plus complexe qu'elle ne l'est, il a voulu la personnifier, l'apprivoiser pensant sans doute qu'elle n'était qu'un simple rouage morale et physique de leur existence, nécessaire à la recherche inconditionnée du bonheur sur Terre et dans un but plus charnelle, il a fait de l'amour une justification qu'est le plaisir ou plus finement la procréation.

Moi, je n'ai jamais pu adhérer à cette vision.
Je pense que l'amour est plus que tout regard, plus que tout touchés, l'amour c'est la nature, c'est l'abstraction d'un monde qui nous ronge, c'est l'essence d'une morale profonde où tout homme peut se conforter.

C'est dans ses instants, têtes contre tête en fermant les yeux et en ne parlant pas qu'on touche l'amour de nos mains jointes, c'est dans ce moment qu'on se sent homme, qu'on ne se sent plus inutile ou isolé et que notre existence est justifiée au plus profond de nous même, l'amour telle que je la vois est le dernier rempart contre la civilisation noire de notre siècle et elle seule, peut nous défendre contre la monotonie mortelle qu'est la vie.

On peut donc finalement penser et c'est tout à fait légitime je l'accorde, que l'amour est le plus beau des sentiments que l'on puisse ressentir en tant qu' homme.


Seulement pour nous, elle donne très souvent cela.
Charlie

mardi 27 mai 2008

"You May Say, I'm a dreamer, but i'm not the only one"



Ce sentiment d'impuissance, face à tant de situations.

Non, je ne peux pas, je subis sans répartie possible, aucune.

Cette souffrance réduit à néant , toutes projections possibles.

Acte de présence, cette perte de temps démesurée.

Et puis merde, arrête. Il t'aurait servi à quoi ce temps ?

A végéter dans un état second ? Là, au moins, tu peux admirer l'Oeuvre Obscure qui causeras ta perte.

Fais attention, ne me choisis pas, pas sans connaissance de cause.

*Cape Cod Kwassa Kwassa - Vampire Weekend

*Sérieux dans nos affaires - Assassin
*Midnight swim ( Surkin Remix ) - Para One
*Peaches ( Les Petits Pilous Remix ) - Blende




Rosie.

mardi 20 mai 2008

On sera bientôt ensemble,

Et le temps s'arrêtera.

Enfin, j'arrêterais de rêvasser, car cela m'épuise d'y penser jusqu'en dans les moindres détails.
Si ce n'est que pour se réveiller soudain, dans une salle de cours, étroite et chaude, comblée par une trentaine d'élèves en pleine réflexion cérébrale, n'ayant d'yeux que pour l'enseignant qui leur fait face et leur sourit, achevant ce beau portrait.
Car oui, la vie au lycée ou en dehors est belle après tout...

Moi, je ne veux plus rien imaginer.

Je souhaite seulement, que cette étreinte ne soit que de longues secondes amoureuses, que ce tendre moment m'enveloppe de toute sa puissance, que mon sang glacé se fige.
Que mon cœur lâche peut-être.

Alors, que le monde sache au moins que je l'ai toujours aimé même s'il m'attriste.


Charlie


lundi 28 avril 2008

Elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le cœur vide, elle a fait des fertiles des averses, l’aride.


Oppresseur,


A force de sourires, d'odeurs, de postures, tu nous troubles.
Jouer l'être faible, sans pouvoir , endort nos soupçons.
Toute chose de cette vie, tourne autour de toi, indubitablement.
Toi seule est maître de nos sentiments, en un mot tu peux nous griser comme nous assassiner.
Insatiable de domination, tu n'hésites pas à nous écraser, pour arriver à tes fins.
Tes désirs, d'un claquement de doigt , sont exécutés.

Pourtant, un jour, notre communauté asservie brisera ses chaînes que représente ton charme, aux apparences charnelles pourtant sincères.
L'escalade que provoque ton apparition, un jour, entraînera la fin d'un temps.
Tes rôles aux allures pourtant certaines, sonneront faux. Tes déguisements tomberont.
Un jour,pour nous tous, opprimés , le véritable sens de l'amour nous enivra de repos et de paix.

Putains, il sonne le glas de votre oppression.



Rosie

mercredi 23 avril 2008

Voyage au bout de la nuit


Un son, à s'injecter directement dans les veines.
Un son et des mots, qui nous transpercent le cœur jusqu'à nous inhiber de toutes autres pensées.

Une décharge poétique qui alimentera sans doute, ma mélancolie naturelle pour longtemps.

Cette sensation toujours, cette tristesse mêlée au sentiment réconfortant de ne pas être seul à avoir des considérations sombres sur le monde environnant.
Je ne suis pas capable de détailler cette œuvre comme il se doit, non, les mots me manquent.
Seulement, je dirais que cet album, c'est un livre.
C'est un journal intime précisément.
Nous sommes dans un train, nous pensons; rupture amoureuse, société condamnée et condition humaine contrastent sobrement avec le paysage qui défile devant nos yeux fatigués, lourds du poids des mots.

De Varsovie à Paris, c'est une Histoire qui se déroule dans mes oreilles.

Un voyage prenant racine au plus profond du pessimisme, libérant une poésie amère et subtile qui nous enlace la nuit en effleurant nos rêves.

J'en tremblerais toujours.

"Oui je sais je suis glauque avec mes chansons tristes, mais j'emmerde le monde et il me le rend bien"




Charlie

jeudi 17 avril 2008

"Baby, you are gonna want me"

Ce retour, ce changement.
Malgré une atmosphère vraiment peu propice, l'euphorie d'un nouveau départ m'a envahi.
Pour cela, merci.
Ces vacances, si ... bizarres niveau commencement.
Ce retour aux sources, musicalement parlant, va encore m'être préjudiciable. Entendons-nous, çà va m'enrichir. Mais je vais encore me faire huer...
Enrichissement à base de Public Enemy, Outkast, et autres groupes que je pense hip hop.
Mais on n'oublie pas d'où on vient, et les Puppets (merci Charlie), buzz de la génération myspace (Manoeuvre, quelles conneries tu peux débiter), redonnent le sourire.
Sentir ce vide, vraiment dur. On ne peut pas perdre une habitude comme çà, çà fait tellement drôle. Rarement eu autant de réserves, on croirait un isolement. Ça fait mal, moralement parlant.
Et puis il y a le retour de cette indifférence, oubliée avec le temps, qu'on pensait enfouie.


Elle ressurgit au plus mauvais moment, on fait avec.
Se plaindre, forme d'impuissance qui veut faire plonger les autres avec nous.
Ne jamais céder à ce chantage, on en sortira ensemble.




Rosie.

mardi 15 avril 2008

"And my fingers scratch at my hair "


Presque un mois d'inactivité.
Un mois.
Je m'aperçois maintenant qu'il aurait peut être fallu réfléchir avant de me lancer dans cette histoire qui en recouvre en elle même tant d'autres, vagues et profondes, démesurées sans doute, que je ne peux que la continuer.
Rien n'est fini, que ce soit pour moi ou pour Rosie.

Pour ma part, si cette histoire est restée dans l'ombre pendant un certain temps, la littérature en est la seule coupable.
Elle me fait rêver, réellement rêver depuis quelques semaines.

Il suffit qu'elle parte longer la Manche pour que je ne pense qu'à la baie de St Malo, lointaine déjà.

La mer est si jolie quand elle reflète la poésie, quand l'écume blanche berce les voiles au loin, et les vieilles barques chargées de souvenirs, dansent, glacées.
Quand le sable peu fin, irritant, te parcourt la peau maladroitement, tu trembles et contemples cette robe endormie, perdu.
Tu l'entends si bien la mer, tu en tombes irrémédiablement amoureux.
Moi, je l'aime, la mer grise et triste, froide et salée, la mer songeuse qui me prend tout à elle.

Que l'été arrive, vite.

Enfin, en pensant à mon cher Arthur, j'ose écrire:

J'aime la littérature.
Or une littéraire aime la littérature.


Charlie

lundi 17 mars 2008

"Back dans les bacs, on est encore là "


Après une profonde et longue passivité, serait-ce un retour ? Pas sûr. Une grosse désillusion ce week-end ne pouvait que suivre la bonne nouvelle . Et encore cette écriture morne, aucun second sens, je ne sais décidement pas écrire.


Excellent Choice - The Horrors ==> Métallique, une des moins sombres que j'ai la chance de connaître des Horrors.

Nobody loves you - John Lennon ==>
N'étant qu'un novice sur les Beatles et la musique en général, je ne peux pas m'étendre. Mais cette balade est magnifique.

Australia - The Shins ==> Un bijou de légèreté, un clip tellement simpliste mais... magnifique quoi.

La fièvre - NTM ==> Je ne vais pas me justifier, NTM étant un des seuls groupes de rap que j'aime, un de mes rêves musicaux serait de les voir en concert.


Cheer it on - Tokyo Police Club ==>
On dirait une putain de chanson enfantine, un mélange d'une comptine et d'un jeu video . J'adore .


Parenthèse, je n'ai aucune prétention d'être mature. Mais si tu recommences à exposer une telle puérilité, crois moi tu risques d'avoir des surprises. La confiance ne te va pas, vraiment pas.
A bon entendeur.


Rosie

samedi 15 mars 2008

"On va vous parler du brouillard, car en Belgique il y a beaucoup de brouillard."


S'il fallait que j'étale chaque moment d'une soirée, minute par minute, pour conter des exploits osés sous l'effet d'une sobriété exemplaire, je retournerais sans hésiter vers Skyrock et ses blogs minutieux.
Seulement afin d'innover, je ne parlerais pas de mes consommations diverses ni de mes frasques puériles.
Non, je vais uniquement me concentrer sur l'aspect musical d'un concert, trait mis depuis quelques temps de côté par certains.
Ce soir, il n'y a pas de chanteurs arborant leurs Ray-Ban et suant sous leur perfecto "Rock and roll" exprimant si bien leur talent.

Je me sens si bien.

Une première partie intéressante, les tout aussi Belges, Flexa Lyndo.
Certains morceaux sont accrocheurs et permettent de chauffer allégremment une salle comble comme il l'était prévu.
Le chanteur tire de sa guitare des riffs précis, transcendants, et sa voix légèrement chevrotante n'est pas sans rappeler celle de Brian Molko.
Une prestation donc plus que correct à mettre au profit des Flexa Lyndo qui malgré leur courte apparition, ont laissé dans la salle un sentiment de contentement.

Girls in Hawaii.
Sans aucun doute le groupe le plus doué musicalement que j'ai eu la chance de voir en concert.
Tout débute sous le premier single du dernier album This farm will end up in fire, sans doute une de celles que j'attendais le plus, souvenir d'un après-midi planant.
Le groupe enchaîne ensuite Bored et Sun of the Sons, l'ambiance monte crescendo dans un public majoritairement constitué de fins connaisseurs des Belges, il n'en faut pas plus pour que ces derniers se lâchent sur scène et laisse entrevoir une expérience des grands rassemblements (Benicassim, les Vieilles Charrues...) indéniable.
Les mélancoliques Shades of time et Colors sont entonnés dans un climat pesant.
Grasshopper réveille la foule, contraste ensuite la magnifique Couples on TV dont la maîtrise musicale émoit.
La très attendue Birthday call qui ne faillit pas à sa réputation scénique précède l'instrumentale Road to Luna, acérée et qui clôt le concert.
L'ambiance est à son comble pour le rappel, les Girls in Hawaii ne tarderont pas à revenir interprétant trois chansons de leur premier album dont Bees and Butterflies.
Un ultime rappel est tenté, gagnant.
Le groupe nous fait cadeau d'une reprise des Beatles, Tax man, famélique.
C'est enfin Antoine, qui seul sur scène, nous gratifieras d'un moment acoustique prenant avec la magnifique Plan your escape.


La Belgique.


Charlie

dimanche 2 mars 2008

"Ne plus vouloir se faire aimer , pour cause de trop peu d'importance"


Une projection qui anihile violemment toute sorte d'idées de solutions possibles. S'en plaindre, ou juste en profiter, dans l'insouciance ou dans la naïveté, çà ne dépend pas vraiment de moi je pense. Bref, arêtte toi, çà ne ressemble à rien quand tu parles.



Doctor Pressure - Mylo vs Miami Sound Machine ==> J'aime.


Only Love Can Break Your Heart - St Etienne ==> Gros coup de coeur , mélange electro avec quelque chose que je peux pas définir, une musique à la Télépopmusic , genre que j'affectionne assez. Planant serait le mot.


Fuck Me Pumps ( Mylo Remix ) - Amy Winehouse ==> Encore l'Ecossais , avec une anglaise pour qui (je sens la lapidation) je ne ressens pourtant aucune adoration. Mais cette chanson est assez légère .


Avec Elégance - Jacques Brel ==> Je suis soufflé quoi, j'ai l'impression qu'il me raconte, même si je dois être hors sujet .


Welcome To Tijuana - Manu Chao ==> Oui je sais, Manu Chao quoi. Mais il a tellement bercé mon enfance musicale, que je suis obligé quoi.


"Brûler sa jeunesse mourante, mais faire celui qui s'en dispense "

Rosie.

mardi 26 février 2008

"God blesse America, God blesse America"


J'ai l'impression d'avoir quitté cette simple histoire depuis longtemps, d'avoir manquer certains faits.
J'ai oublié à quoi mes idées étaient occupées il y a quelques semaines.

J'ai tout oublié.

Ces derniers jours furent évocateurs.

Telle une routine, l'actualité me ronge chaque soir en période de lycée; je pars morose, je reviens accablé et fatigué par une mélancolie croissante au fil des jours.
Il fallait que je parte loin pour ne pas être gangrené par cette vie éplorée, il fallait que je rencontre un individu pessimiste pour me conforter dans mes idées.
C'est très futile cet instinct d'essayer de trouver une personne qui te ressemble moralement.
Seulement à voir ces "Houna" se trémousser partout, tu deviens un paranoïaque sentimental endurci.
Là-bas, je suis vide de toute réflexion, je suis la neutralité absolue, le pantin rêvé de ce système infernal.
Là-bas, je suis libre de tout, il n'y a aucunes frontières de véhiculées, il n'y a rien de malsain et les individus sont tout simplement irréfléchis.
Là-bas, je suis l'antithèse de ce que je parais à des centaines de kilomètres plus à l'ouest, je quitte ainsi volontiers ma peau déchirée pour me muer en un être vulnérable et inoffensif qui attends d'atterrir sous une aile réconfortante et légitime.
Oh oui le retour à la réalité me déchire, mais se lamenter ne sert plus à rien.
Mon corps assaini et reposé y est paré, la vie normale reprend bel et bien.


"La vérité, c'est une agonie qui n'en finit pas. La vérité de ce monde c'est la mort. Il faut choisir, mourir ou mentir. Je n'ai jamais pu me tuer moi."


Charlie

jeudi 21 février 2008

"Oh! vous êtes un bon garçon, je veux bien être votre amie, mais pas davantage...Entendez-vous,votre amie ! "


Je ne sais que faire. Il suffit que Charlie parte, et ce blog sombre dans une certaine léthargie. Mais que dire, quand ses mains ne flirtent pas sur le clavier, j'ai l'air d'un con. Ne tergiversons pas. Un léger passage sur l'autre plateforme, tout simplement affligeant. Rien que les titres sont risibles, que je te donne de l'electro sex ou du vuitton-j'ai-de-la-thune-même-si-j'ai-rien. Trop de frustration tue la frustration, entendons-nous. Et après tu as les soirées. Ah les soirées en ville, ou tu vois plus de gamines brailler, que dis-je meugler "je suis deeeef" que si elles l'étaient vraiment. Ça te coupe l'envie de sortir, cette pseudo jeunesse décadente. Tiens aussi, inconstance quand tu flirtes avec nous. Bref, n'épiloguons pas, ce monologue est inutile, un meuble ne masquant qu'à peine le départ de l'autre.

"L'amour vous poignarde, le désespoir vous achève."
(Même en essayant je n'en tire que du ridicule).



Hell is around the corner - Tricky and Portishead.

Rosie.

mardi 12 février 2008

Le silence,mort de l'âme. N°5


Toujours continuer dans la même optique , construire le personnage obtus que je suis.



Jacknife - The Tellers =>
Cet air un peu tzigane, j'aime, c'est léger. Trop éphémère pourtant, au même titre que Girls of Russia , mais bon...

Gang of Gin - Babyshambles =>
Pour l'oeuvre de Pete, pour l'alternance d'euphorie et de calme.

The Bomb - Bucketheads => La base.

Santa Maria - Gotan project => Le projet séduisant, l'alliance subtile, pour un résultat étonnant.

Touch it_Technologic - Daft Punk => Un exemple parmis tant, une réussite, quel album mon dieu.


Rosie.


mercredi 6 février 2008

Le puéril au service de la bêtise.


Seuls les esprits faibles ont besoin d'un lien avec leur peuple pour exister,
Ici, le paroxysme de l'hautainerie contraste inoxérablement avec l'apogée de la stupidité.

Aimer n'est pas exagérer, souvenez-en vous jeunesse limitrophe.

Et narcissique avec ça.


Charlie et Rosie

mardi 5 février 2008

"C'est pas vraiment toi que je regrette, juste ce drôle d'état dans lequel tu me plongeais les jours de grâce jusqu'aux lueurs du matin"N°4


J'ai pas la plume de ce cher Charlie, mes articles serviront juste de faire-valoir à son talent indéniable. Et je m'en contenterais amplement.

It's not over yet - Klaxons => parcequ'en ce moment c'est celle là et pas une autre.

La Norma - Bellini => Toi qui a souhaité me lancer dans ce monde si vaste, cet univers envoûtant, tu as reussi grâce à ce bijou.

Ooh la - The Kooks => je veux pas faire ma groupie, juste cette chanson a une grosse symbolique pour moi, d'une période de légereté de mon enfance , et de la fin d'un cycle , paradoxalement correspondant à un début de saison.

Mongrel meets his maker - Dj Shadow => Un univers sombre, pas chaotique , mais franchement troublant .

I Ain't Saying My Goodbyes - Tom Vek => Pour ce son métallique , pour cette voix atypique , pour ces phases .

Qui sait, avec le temps j'arriverais peut-être à établir ce lien avec l'éxécutoire le plus prisé des damnés, des persécutés .


Rosie

Ineffable,


Histoire


Sous un arbre automnal, j'égrène mon dépit.
J'offre à mes pensées fugueuses, des rêveries;

Où de pauvres tourments embrasés de désir,
Enlaidissent un monde doré de plaisir.

La fontaine, d'une fièvre mélancolique;
Endort mon âme dénuée d'ardeur nostalgique.

Deux amoureux échangent un regard futile,
J'ose me placer dans cette sinistre idylle.

Mon coeur ne me suit plus, seul, il pleure la vie.
Sous un arbre automnal, j'égrène mon dépit.


Charlie

samedi 2 février 2008

"A mesure qu'approche le soir, une inquiétude incompréhensible m'envahit comme si la nuit cachait pour moi une menace terrible"




"Moi, je me débats, lié par cette impuissance atroce, qui nous paralyse dans les songes ; je veux crier, - je ne peux pas ; - je veux remuer , - je ne peux pas ; - j'essaie, avec des efforts affreux, en haletant, de me tourner, de rejeter cetre être qui m'écrase et qui m'étouffe, - je ne peux pas ! "

J'ai rien à ajouter, tout paraitrait trop superficiel à côté .





Rosie.

Sans la musique, la vie serait une erreur.N°3


The Kinks - Lola => Elle est sans conteste la remplaçante musicale de Mandy dans mes rêves.
A mon plus grand regret, cette dernière est maintenant trop plébiscitée.

Franz Ferdinand
- Eleanor put your boots on => L'accent "Fab four" se dégageant d'Eleanor nous transporte dans le Liverpool envoûtant de 65.

Dolly Parton - Jolene => Oh Dolly, grâce à ton texte insensé, j'ai osé me plonger dans les pensées d'une fille amoureuse.

Damien Saez - Usé => Je suis actuellement morose, fatigué, usé, comme la voix suave de Damien l'exprime si bien. Pour autant, je ne repartirais pas dans l'écriture de "Dire, ne se peut".

Ben Kweller - Thirteen => Quant à Ben Kweller, cette balade au piano est peut être la plus réussie que j'ai entendu, un soupçon d'harmonica parachève le tout.


Charlie


mardi 29 janvier 2008

Pour une patrie libre.


Quand j'arrive , je me dis que c'est pas possible, c'est trop gros pour être vrai .
Mais non, ce genre de choses existe vraiment.

C'est pas que je veux jouer l'être supérieur , mais je pensais vraiment que c'était impossible de tomber dans un tel panneau. Abuser des faibles n'est pas glorieux, chers victorieux.

Une telle propagande, c'est revenir au temps du partage total.


Un tiers... Quel beau pays qu'est la France, elle et son français si prisé des dérangés.


Rosie, patriote invétéré.

Dire, ne se peut.


Avant toute playlist, il est je pense, impératif de savoir en quel état superficiel je me trouve actuellement plongé.

Les différents masques que j'employais pour cacher un certain mal être se retournent contre moi, à commencer par les adultes prépondérants qui me percent à jour et qui en prennent sans aucun doute, un malin plaisir.
Rire pour mieux pleurer?
L'oxymore n'est pas uniquement une trace écrite.
Elle se vérifie aussi dans le comportement humain.
J'ai eu une discussion avec une personne un jour d'automne :
"Je suis sûr qu'on est le contraire de ce qu'on laisse paraître "
Nous deux, certainement.

Je n'arrive pas à imaginer mon avenir...
Si j'ai parfois la chance de le rêver, je le vois noir ou pire, inexistant.
Le monde est une succession d'ennuis monocordes, ces perspectives heureuses qui tentent d'atteindre mon encéphale, je les laisse volontiers à d'autres.

Et puis je me souviens de ces rêves peu communs, la question fut en Histoire de savoir si le dernier en date était prémonitoire.
Il se pourrait.

Quelle période troublante, que de remous cérébral...

Ce ne peut pas être qu'une simple phase de morosité, ici c'est de la mélancolie pure, malheureusement non fictive.
La question que je me pose finalement est:
Est ce une transition ou l'échéance d'un repli sur soi même inévitable?

Charlie

lundi 28 janvier 2008

L'impatience, un des défauts les plus préjudiciables.N°2


J'arrive pas, çà cogite dans ma tête. Si je ne mets pas encore une playlist, je vais garder çà longtemps.


1999 - Cassius = Groupe électro français, vraiment super mais pas tout jeune . Ce morceau est à moitié house, mais il est agréable .

Seine saint-denis style - NTM = Un groupe français marquant , ils ont réussi a dégager une rage, et les paroles sont tellement vraies... Un de leur morceau les plus célèbres.

Waiting in line ( Krazy Baldhead remix ) - Outlines = Un remix d'un artiste du label Ed Banger, morceau divisé en plusieurs phases, posées ou accélérées. Un genre que tu apprécies Charlie je crois ;)

Psyche Rock - Pierre Henry = morceau de 1965, un des premiers morceau electro.

Halfanedit - Mr Oizo = Encore un artiste Ed Banger, pourquoi ce morceau ? Aucune idée. Pour son côté répétitif peut être.


Rosie, ne vous inquiétez pas Charlie ne va pas tarder à ajouter sa touche musical ;)

dimanche 27 janvier 2008

Une raison parmi tant d'autres.


Cette migration est simple : une envie d'affirmer notre personnalité, en quittant l'autre plateforme trop formatée pour nous. Soit nous sommes des petits branleurs, pardonnez moi l'expression, qui veulent faire leur malin , soit nous sommes juste deux perdus cherchant un quelconque renouveau.

Rosie, qui parle pour deux.



Un immense pelle-melle, si époustouflant. N°1

Tits & Acid - Simian Mobile Disco = Parce que j'aime quand il y a un minimum de vocal, que la sirène me fait penser à Stress.

Do it again - Chemical brother
= Le refrain assez tribal, transcendant .

Joey Starr Wars - Dj Zebra = Juste pour l'ensemble de l'oeuvre de ce breton, un homme capable avec ses platines de déchaîner la foule.

An End has a start - Editors = J'empiète un peu sur tes plates bandes Charlie, mais cette chanson m'a marqué.

Move My body ( Boys Noize remix ) - Tiga = Un mélange assez sympathique, entraînant , entre ce canadien rôdé et ce groupe allemand montant.


Pour moi, ce sera tout simplement Rosie

samedi 26 janvier 2008

Cet ennui profitable.

Espagnol

Perdu pendant ces heures, j'aimerais te voir,
T'emmener tôt vers un lointain proche, gris, noir.
Demander à la nuit qui déshabille les pleurs
De ton coeur; le temps de t'accueillir tendrement.
Inhibé par un afflux morbide,
Je me sens emporté par la folie puérile,
Que l'idée pensive de vouloir accomplir,
Cette douce étreinte, te berce posément.

Je pénètre, je cours, je quitte ton enfer.

(On m'a réclamé une signature, ce sera Charlie).