lundi 28 avril 2008

Elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le cœur vide, elle a fait des fertiles des averses, l’aride.


Oppresseur,


A force de sourires, d'odeurs, de postures, tu nous troubles.
Jouer l'être faible, sans pouvoir , endort nos soupçons.
Toute chose de cette vie, tourne autour de toi, indubitablement.
Toi seule est maître de nos sentiments, en un mot tu peux nous griser comme nous assassiner.
Insatiable de domination, tu n'hésites pas à nous écraser, pour arriver à tes fins.
Tes désirs, d'un claquement de doigt , sont exécutés.

Pourtant, un jour, notre communauté asservie brisera ses chaînes que représente ton charme, aux apparences charnelles pourtant sincères.
L'escalade que provoque ton apparition, un jour, entraînera la fin d'un temps.
Tes rôles aux allures pourtant certaines, sonneront faux. Tes déguisements tomberont.
Un jour,pour nous tous, opprimés , le véritable sens de l'amour nous enivra de repos et de paix.

Putains, il sonne le glas de votre oppression.



Rosie

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Rosie, tu écris tellement bien...