samedi 2 février 2008

"A mesure qu'approche le soir, une inquiétude incompréhensible m'envahit comme si la nuit cachait pour moi une menace terrible"




"Moi, je me débats, lié par cette impuissance atroce, qui nous paralyse dans les songes ; je veux crier, - je ne peux pas ; - je veux remuer , - je ne peux pas ; - j'essaie, avec des efforts affreux, en haletant, de me tourner, de rejeter cetre être qui m'écrase et qui m'étouffe, - je ne peux pas ! "

J'ai rien à ajouter, tout paraitrait trop superficiel à côté .





Rosie.

1 commentaire:

coline a dit…

Cela va sans dire Rosie :)