mardi 29 janvier 2008

Pour une patrie libre.


Quand j'arrive , je me dis que c'est pas possible, c'est trop gros pour être vrai .
Mais non, ce genre de choses existe vraiment.

C'est pas que je veux jouer l'être supérieur , mais je pensais vraiment que c'était impossible de tomber dans un tel panneau. Abuser des faibles n'est pas glorieux, chers victorieux.

Une telle propagande, c'est revenir au temps du partage total.


Un tiers... Quel beau pays qu'est la France, elle et son français si prisé des dérangés.


Rosie, patriote invétéré.

Dire, ne se peut.


Avant toute playlist, il est je pense, impératif de savoir en quel état superficiel je me trouve actuellement plongé.

Les différents masques que j'employais pour cacher un certain mal être se retournent contre moi, à commencer par les adultes prépondérants qui me percent à jour et qui en prennent sans aucun doute, un malin plaisir.
Rire pour mieux pleurer?
L'oxymore n'est pas uniquement une trace écrite.
Elle se vérifie aussi dans le comportement humain.
J'ai eu une discussion avec une personne un jour d'automne :
"Je suis sûr qu'on est le contraire de ce qu'on laisse paraître "
Nous deux, certainement.

Je n'arrive pas à imaginer mon avenir...
Si j'ai parfois la chance de le rêver, je le vois noir ou pire, inexistant.
Le monde est une succession d'ennuis monocordes, ces perspectives heureuses qui tentent d'atteindre mon encéphale, je les laisse volontiers à d'autres.

Et puis je me souviens de ces rêves peu communs, la question fut en Histoire de savoir si le dernier en date était prémonitoire.
Il se pourrait.

Quelle période troublante, que de remous cérébral...

Ce ne peut pas être qu'une simple phase de morosité, ici c'est de la mélancolie pure, malheureusement non fictive.
La question que je me pose finalement est:
Est ce une transition ou l'échéance d'un repli sur soi même inévitable?

Charlie

lundi 28 janvier 2008

L'impatience, un des défauts les plus préjudiciables.N°2


J'arrive pas, çà cogite dans ma tête. Si je ne mets pas encore une playlist, je vais garder çà longtemps.


1999 - Cassius = Groupe électro français, vraiment super mais pas tout jeune . Ce morceau est à moitié house, mais il est agréable .

Seine saint-denis style - NTM = Un groupe français marquant , ils ont réussi a dégager une rage, et les paroles sont tellement vraies... Un de leur morceau les plus célèbres.

Waiting in line ( Krazy Baldhead remix ) - Outlines = Un remix d'un artiste du label Ed Banger, morceau divisé en plusieurs phases, posées ou accélérées. Un genre que tu apprécies Charlie je crois ;)

Psyche Rock - Pierre Henry = morceau de 1965, un des premiers morceau electro.

Halfanedit - Mr Oizo = Encore un artiste Ed Banger, pourquoi ce morceau ? Aucune idée. Pour son côté répétitif peut être.


Rosie, ne vous inquiétez pas Charlie ne va pas tarder à ajouter sa touche musical ;)

dimanche 27 janvier 2008

Une raison parmi tant d'autres.


Cette migration est simple : une envie d'affirmer notre personnalité, en quittant l'autre plateforme trop formatée pour nous. Soit nous sommes des petits branleurs, pardonnez moi l'expression, qui veulent faire leur malin , soit nous sommes juste deux perdus cherchant un quelconque renouveau.

Rosie, qui parle pour deux.



Un immense pelle-melle, si époustouflant. N°1

Tits & Acid - Simian Mobile Disco = Parce que j'aime quand il y a un minimum de vocal, que la sirène me fait penser à Stress.

Do it again - Chemical brother
= Le refrain assez tribal, transcendant .

Joey Starr Wars - Dj Zebra = Juste pour l'ensemble de l'oeuvre de ce breton, un homme capable avec ses platines de déchaîner la foule.

An End has a start - Editors = J'empiète un peu sur tes plates bandes Charlie, mais cette chanson m'a marqué.

Move My body ( Boys Noize remix ) - Tiga = Un mélange assez sympathique, entraînant , entre ce canadien rôdé et ce groupe allemand montant.


Pour moi, ce sera tout simplement Rosie

samedi 26 janvier 2008

Cet ennui profitable.

Espagnol

Perdu pendant ces heures, j'aimerais te voir,
T'emmener tôt vers un lointain proche, gris, noir.
Demander à la nuit qui déshabille les pleurs
De ton coeur; le temps de t'accueillir tendrement.
Inhibé par un afflux morbide,
Je me sens emporté par la folie puérile,
Que l'idée pensive de vouloir accomplir,
Cette douce étreinte, te berce posément.

Je pénètre, je cours, je quitte ton enfer.

(On m'a réclamé une signature, ce sera Charlie).