jeudi 17 avril 2008

"Baby, you are gonna want me"

Ce retour, ce changement.
Malgré une atmosphère vraiment peu propice, l'euphorie d'un nouveau départ m'a envahi.
Pour cela, merci.
Ces vacances, si ... bizarres niveau commencement.
Ce retour aux sources, musicalement parlant, va encore m'être préjudiciable. Entendons-nous, çà va m'enrichir. Mais je vais encore me faire huer...
Enrichissement à base de Public Enemy, Outkast, et autres groupes que je pense hip hop.
Mais on n'oublie pas d'où on vient, et les Puppets (merci Charlie), buzz de la génération myspace (Manoeuvre, quelles conneries tu peux débiter), redonnent le sourire.
Sentir ce vide, vraiment dur. On ne peut pas perdre une habitude comme çà, çà fait tellement drôle. Rarement eu autant de réserves, on croirait un isolement. Ça fait mal, moralement parlant.
Et puis il y a le retour de cette indifférence, oubliée avec le temps, qu'on pensait enfouie.


Elle ressurgit au plus mauvais moment, on fait avec.
Se plaindre, forme d'impuissance qui veut faire plonger les autres avec nous.
Ne jamais céder à ce chantage, on en sortira ensemble.




Rosie.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

" Se plaindre, forme d'impuissance qui veut faire plonger les autres avec nous. "
J'aime beaucoup cette phrase